UN MILITAIRE PRÉSIDERA LA COMMISSION DU SERVICE NATIONAL
Le général de brigade Daniel Ménaouine, fils de sous-officier parachutiste,qui fut notamment chef d'état-major de la Minusma au Mali, va présider aux travaux du groupe sur le "service national universel", une nomination attestant d'une prééminence militaire sur un projet civique qui peine à trouver sa philosophie.
Cet officier qui a servi dans l'artillerie et occupa les fonctions de chef de cabinet du chef d'état-major de l'armée de Terre de 2010 à 2014, animera le groupe de travail annoncé le 30 janvier par Emmanuel Macron, a appris Reuters vendredi de sources parlementaire et militaire.
Une première réunion était prévue ce vendredi à l'Elysée, a-t-on précisé de source proche du dossier.
Le groupe de travail doit remettre le 30 avril au chef de l'Etat ses conclusions sur ce dispositif controversé, qui a donné lieu à des divergences d'interprétation au sein du gouvernement et suscite des réserves dans les rangs militaires.
Outre le général Ménaouine, qui commanda également en 2014 le centre d'études stratégiques de l'armée de Terre, six personnalités réfléchiront aux contours du "SNU", promesse électorale énoncée en mars 2017 par Emmanuel Macron.(l'ancien secrétaire d'état Juliette Méadel,Le préfet Kléber Arhoul,Marion Chapulut,le conseiller d'Etat Thierry Tuot, Emmanuelle Pérès, déléguée générale de la Fédération de la formation professionnelle depuis 2011, et Guy Lavocat)
Photo d'illustartion |
Cet officier qui a servi dans l'artillerie et occupa les fonctions de chef de cabinet du chef d'état-major de l'armée de Terre de 2010 à 2014, animera le groupe de travail annoncé le 30 janvier par Emmanuel Macron, a appris Reuters vendredi de sources parlementaire et militaire.
Une première réunion était prévue ce vendredi à l'Elysée, a-t-on précisé de source proche du dossier.
Le groupe de travail doit remettre le 30 avril au chef de l'Etat ses conclusions sur ce dispositif controversé, qui a donné lieu à des divergences d'interprétation au sein du gouvernement et suscite des réserves dans les rangs militaires.
Outre le général Ménaouine, qui commanda également en 2014 le centre d'études stratégiques de l'armée de Terre, six personnalités réfléchiront aux contours du "SNU", promesse électorale énoncée en mars 2017 par Emmanuel Macron.(l'ancien secrétaire d'état Juliette Méadel,Le préfet Kléber Arhoul,Marion Chapulut,le conseiller d'Etat Thierry Tuot, Emmanuelle Pérès, déléguée générale de la Fédération de la formation professionnelle depuis 2011, et Guy Lavocat)
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